« la LPM 2019-2025 programme des besoins à hauteur de 295 milliards d’euros, couverts de manière ferme jusqu’en 2023. Cela portera alors l’effort de défense à 1,91 % du PIB contre 1,78 % en 2017. Les ressources pour les années 2024 et 2025 seront précisées lors d’une actualisation prévue en 2021, prenant en compte la situation macroéconomique à cette date, dans l’objectif de porter l’effort national de défense à 2 % du PIB en 2025. »
du journal: La Tribune 7/08/18
L'innovation au bord de la route
C'est l'une des très grosse déception de cette LPM. 1 milliard d'euros pour le soutien à l'innovation (études amont), c'est peu, beaucoup trop peu. D'autant plus que le ministère des Armées prévoit 1 milliard d'euros... en 2022 (contre 730 en 2018). Le minimum du minimum aurait été d'atteindre 1,5 milliard d'euros. Selon nos informations, l'état-major aurait freiné la hausse des crédits d'innovation.
Dans un monde où les ruptures technologiques se multiplient, la France ne se met pas en position de gagner la guerre du futur. Elle se gagne pourtant dès aujourd'hui en mettant de l'argent, beaucoup d'argent - le nerf de la guerre. Florence Parly aurait pu incarner cette volonté de doter les armées de matériels disruptifs à l'horizon 2030. Il n'est pas encore trop tard. Mais il faut aller vite après une LPM 2014-2019 de
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